L'homme sans nom

Jack London

J'ai écouté cette nouvelle grâce à l'enregistrement qu'en a fait Alain Degandt, qu'on peut trouver sur le site litteratureaudio.com. Mais, étant donné que j'écris le présent commentaire bien après, ce dernier serait bien pauvre. C'est pourquoi j'ai préféré recopier le commentaire de Louis Postif, le traducteur de la nouvelle en français.
 

Extrait de la quatrième de couverture

Semper Idem est de ces êtres « oubliés de Dieu », qu’un destin au rire grinçant achemine inexorablement vers une fin d’un burlesque sinistre, digne d’une mauvaise farce de carabin. L’humour noir du récit est accentué par l’attitude du chirurgien, le Docteur Bicknell, dénuée de toute humaine compassion. Il ne se préoccupe que des prouesses qu’il peut accomplir, grâce à sa dextérité dans la pratique de l’art chirurgical, mais pas le moins du monde du sort de ses patients.

Un des premiers textes de Jack London, paru en 1900 dans la revue The Black Cat, avant d’être publié dans le recueil When God Laughs.